Monday, June 28, 2010

factor X - Roh



Cassette, C90
Label : Schimpfluch, Switzerland, 1990


Friday, June 25, 2010

Vehikel & Gefäss (& Ventilator) - 'Make 'Em Pay (!): Homemade Napalm = Gasolin Or Fuel Oil + Nondetergent Soap (Bar, Flakes Or Powder) / Make Gasolin, Oil Or A (1:1) Mixture Bubble And Add The Soap (1:1)'



7"
Label : Schimpfluch, Switzerland, 1990
Limited edition of 300 copies


Vehikel & Gefäss (& Ventilator) are Rudolf Eb.er, Joke Lanz (Sudden Infant) and Marc Zeier (G*Park).
Recorded live in Zürich, March 1990.


Tracklist :

A. 90-03-23 (4:53)
B. 90-03-20 (4:59)


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Tuesday, June 22, 2010

Institut Für Psycho-Hygiene / Rudolf Eb.er - Lieder Zur Anal.ytischen Selbstverkrüppelung



LP
Label : Schimpfluch, Switzerland, 1991
Limited edition of 70 copies


Tracklist :

A. Rumpsti Fumsti Ziegenbock (15:15)
B. Rumpsti Fumsti Krüppel (14:44)


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Saturday, June 19, 2010

Runzelstirn & Gurgelstøck / Merzbow / Due Process - Je Rumpelsturz Desto Burzelblock



LP
Label : Schimpfluch / RRR, Switzerland / US, 1988


Schimpfluch was a fantastic Swiss label run by Rudolf Eb.er. Several Schimpfluch LPs and cassettes are available on other blogs :
SH01 - Wash Your Brains / Krähen Röhren - Röhren Krähen [LP]
SH02 - Various Artists / Zerstückelte Denkkurbeln [LP]
SH08 - Runzelstirn & Gurgelstøck / Bei Abwesenheit Jeglicher Genussempfindungen [LP]
SHR1 - Runzelstirn & Gurgelstøck / Stuhlgangblockade [Cassette]
SH09 - Runzelstirn & Gurgelstøck / Stuhlgangblockade N! [LP]
SHT13 - Draengende Hebelkraft / Entnahmt X [Cassette]
KSK 01 - Rudolv Eb.er / KSK Dokumentation N° 01 [LP]
KSK 01 - Rudolv Eb.er / KSK Dokumentation N° 01 [LP]
KSK 03 - Schimpfluch-Gruppe / Mama (Das Fest) [LP]
I'm gonna post a few more...

"Je Rumpelsturz Desto Burzelblock" is a collaborative LP by Runzelstirn & Gurgelstøck (aka Rudolf Eb.er) with Merzbow (Side A) and Due Process (Side B).


Tracklist :

A. Runzelstirn & Merzbow & Gurgelstøck - Rumpelsturz
B. Due Process / RRRadio & Runzelstirn & Gurgelstøck - Burzelblock


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Thursday, June 17, 2010

Donna Klemm / Artware - Interview 1992



Donna Klemm, the person behind the famous german label Artware, passed away two years ago, on June 17th 2008. In 1992, I made a written interview with Donna through the mail, that was supposed to be published in a french magazine. I made a french translation but for any reason that was never published... I had forgotten that interview and I recently found it in my archives. So here it is.


Présentation

Je vis à Wiesbaden, une jolie petite ville qui se trouve près de Francfort, où je m'occupe d'une société commerciale de distribution par correspondance, Artware Audio, spécialisée dans les musiques alternatives et indépendantes. Depuis fin 1990, Artware est également un label de production sur lequel sept références sont disponibles à ce jour.
Avant de créer Artware Audio fin 1988, je travaillais dans un magasin de disques à Wiesbaden, lui aussi spécialisé dans les musiques indépendantes. C'est grâce à ce travail que j'ai rencontré Uwe Hamm-Fürhölter, qui a été mon associé au début d'Artware Audio, et qui s'occupe à présent du label Artware Provision, consacré à la vidéo. Un jour, il est arrivé avec cinquante exemplaires du double album de Current 93 "Christ And The Pale Queens Mighty In Sorrow". Un contact personnel avec David Tibet nous avait permis de nous procurer cette superbe production qui n'était pas disponible en Allemagne.
Le premier signe de vie d'Artware s'est présenté sous la forme d'une photocopie A4 sur laquelle nous faisions de la publicité pour nos meilleures ventes. À partir de là, Artware s'est développé en distributeur par correspondance international, avec un catalogue qui s'est vite épaissi.
Au départ, nous n'avions pas réellement d'objectif. Mais quand Uwe et moi avons pris notre exemplaire du disque de Current 93, il a fallu que nous vendions les quarante-huit qui restaient. On peut dire qu'Artware est apparu comme un effet secondaire. Aujourd'hui, le catalogue d'Artware est assez important, mais d'un point de vue professionnel, il reste encore beaucoup de choses à améliorer. Pendant longtemps, je n'ai eu ni fax (je m'en suis procuré un il y a peu), ni ordinateur. Tous mes fichiers sont faits à la maison, et heureusement, je bénéficie de l'aide inestimable d'un collègue, Rainer, sans qui je ne pourrais pas m'en sortir. J'aimerais bien disposer de davantage de matériel, mais je n'ai pas assez d'argent pour le moment. En tout cas, lorsque cela changera, cela ne m'empêchera pas de continuer à m'occuper des commandes et des envois comme du reste de ma correspondance, avec tout l'aspect "Comment vas-tu ?" et "Quoi de neuf ?".
La récente réorganisation d'Artware en deux départements distincts est due au fait que mon associé Uwe est davantage intéressé par le domaine des films et de la vidéo, qui nécessite à lui seul un travail considérable et ne laisse pas le temps de s'occuper en même temps du domaine musical. Artware Provision est un label à part entière, séparé d'Artware Audio, et son principal but est de promouvoir les films underground new-yorkais auprès du public allemand le plus large possible. Uwe a par exemple récemment organisé une tournée en Allemagne des deux réalisateurs Nick Zedd et Richard Kern, surtout connus pour leur film "Fingered" avec Lydia Lunch.


Distribution

Je suis toujours très heureuse lorsque de nouveaux labels m'écrivent ou lorsque des artistes m'envoient leurs premiers travaux. Les contacts constituent vraiment pour moi l'un des aspects les plus importants de ce travail. Mais il faut que je sois convaincue à 100% de la qualité d'un produit avant de l'inclure à mon catalogue, et je me réserve le droit de renvoyer tout ce que je n'aime pas. Je pense qu'il est important de s'en tenir à un certain niveau de qualité. D'un autre côté, il m'arrive de commander des productions d'artistes dont je n'ai jamais entendu parler, mais uniquement lorsque cela provient de labels établis, connus pour la qualité de leurs réalisations.
Pour être honnête, il m'est actuellement impossible de vivre de mes activités commerciales. En principe, tous les bénéfices que je fais avec la distribution sont réinvestis dans les productions du label, et serviront également bientôt à acheter du nouveau matériel de bureau. C'est la raison pour laquelle j'ai également un autre emploi qui me permet de vivre.
Jusqu'à présent, je n'ai jamais eu aucun problème avec les labels avec lesquels je travaille, à l'exception d'un label japonais qui me devait de l'argent mais qui a fait faillite.
Il y a trois ans, Artware pouvait être considéré comme le spécialiste des expressions artistiques extrêmes, mais depuis lors, les temps ont changé. La plupart des musiques dites "indépendantes" sont devenues très à la mode et, à mon avis, beaucoup d'entre elles ne présentent aucun intérêt. C'est la raison pour laquelle de nombreux distributeurs ici et partout dans le monde commencent à s'intéresser à ce marché. En Allemagne, quelques-uns d'entre eux, qui sont comme des majors parmi les indépendants, ont réussi à s'établir au cours des dernières années. Leur catalogue est souvent très varié, et on y retrouve des choses comme du heavy metal ou de la pop anglaise. Mais au milieu de tout cela, ils ont aussi quelques raretés comme les productions RRR par exemple. On va bientôt les retrouver dans les rayons des grands magasins à côté du dernier album de Jason Donavan ! Mais ceci n'est que l'aspect négatif du problème. Ce qui est positif en revanche, c'est qu'avec tous les nouveaux labels, faire partie de ce réseau est devenu beaucoup plus excitant. Ma boite aux lettres est toujours pleine à ras bord de courriers de toutes sortes en provenance de labels. C'est ce qui rend le travail plaisant. Je travaille en collaboration avec environ quatre cents labels et distributeurs éparpillés dans le monde entier, et j'ai à peu près le même nombre de clients qui sont d'origines très diverses. Les nouveautés paraissent dans un supplément, deux fois par an, que j'envoie à ceux qui m'ont fait des commandes. Chacun d'eux est accompagné d'une cassette d'une heure comprenant des extraits des productions les plus intéressantes. Naturellement, la majorité de mes clients sont allemands, mais il y en a aussi qui vivent dans des pays aussi lointains que l'Australie, le Japon, l'Indonésie ou la Nouvelle-Zélande. En fait, les seuls endroits du monde où je n'ai pas de clients sont le Groenland et quelques pays d'Afrique.
En ce qui concerne les labels, la plupart sont américains, probablement parce que ce pays est à la fois le plus grand et le plus fou. Jusqu'à présent, je n'ai eu que très peu de contacts avec les habitants de l'ancien bloc de l'Est. Je suppose qu'ils ont des préoccupations plus urgentes actuellement que de s'intéresser à Artware, mais je suis certaine que cela changera au cours des prochaines années. Un signe encourageant a été pour moi de recevoir la playlist d'une radio tchécoslovaque, sur laquelle j'ai eu la surprise de voir figurer tous les meilleurs groupes tels que The New Blockaders ou The Gerogerigegege.
Je m'occupe moi-même d'envoyer toutes les factures aux clients. Les commandes ne se réduisent pas à de simples considérations financières ; c'est aussi un moyen de communiquer, au sujet de choses telles que les productions qui ne sont plus disponibles, etc. Parfois, des clients me demandent des productions dont je n'ai jamais entendu parler, et en leur envoyant la facture suivante, vous pouvez être certain que je leur demanderai plus d'informations au sujet de ce qu'ils recherchent. J'ai reçu de nombreuses informations de valeur de la part de clients lorsque j'ai commencé.


France / Allemagne

Il me semble qu'il existe en France beaucoup plus de musiciens intéressés par la musique électronique qu'en Allemagne. L'incroyable diversité des approches dans ce domaine rend la scène musicale française vraiment fascinante. De nombreux noms me viennent à l'esprit : Anne Gillis, Entre Vifs, DDAA, X-Ray Pop, Club Moral [de Belgique et non de France, NdT], Costes, Étant Donnés, Minamata, et beaucoup d'autres. Le devant de la scène allemande n'est pas aussi prestigieux.
Évidemment, ma préférence va à ce que je qualifierais de "conceptual noise", sans quoi je n'aurais pas produit un CD d'Entre Vifs ! Mais il y a beaucoup d'autres styles que j'aime écouter. Cela dépend complètement de mon humeur.
En Allemagne, il n'existe rien de comparable non plus à un label tel que INA-GRM et leur collection unique de musique contemporaine et électroacoustique qui constitue un must pour tous les collectionneurs. Il existe à Berlin un label intéressant, Edition RZ, consacré à ce que l'on pourrait qualifier de musique électronique classique, mais en dehors de cela, rien ne se rapproche de ce qui existe en France. Bien sûr, nous avons nos vieux maîtres : des gens comme Asmus Tietchens, H.N.A.S. ou P16.D4 mais c'est tout. En ce qui me concerne, mon préféré est Asmus Tietchens.


Production

La création d'un label de production est apparue comme l'aboutissement logique de ce que je faisais. De part mes activités commerciales, j'ai toujours été en contact direct avec les artistes, et je n'ai donc eu qu'à demander à Entre Vifs, De Fabriek, Sigillum S ou Anne Gillis s'ils étaient d'accord pour que sorte un CD de leur musique sur le label Artware. J'ai été très surprise que tous disent "oui". Bien entendu, les artistes auxquels je me suis adressée étaient ceux qui j'appréciais le plus, et c'est la raison pour laquelle j'ai été très excitée qu'ils acceptent.
Les quatre premières productions d'Artware ont été réalisées en éditions limitées à cinq cents exemplaires. Je n'ai jamais eu l'intention de vendre mes produits à de gros distributeurs pour qu'ils se retrouvent dans les bacs de grands magasins ; il m'a donc fallu constituer mon propre réseau de distribution que je continue aujourd'hui à mettre en place. Naturellement, cela me prend beaucoup de temps de vendre cinq cents copies de chaque CD, mais tant que je ne serai pas plus sûre de moi au niveau de la distribution, il vaut mieux ne pas produire davantage pour limiter les risques. Cela dit, j'espère que je pourrai bientôt réaliser des éditions de mille exemplaires.
Le conditionnement de mes productions a pour moi beaucoup d'importance dans la mesure où je souhaite que chacune d'elles procure un plaisir non seulement auditif mais également visuel. C'est un aspect des choses qui me fascine, et je suis sûre que ceux qui achètent mes CDs ou mes LPs apprécient également.
Jusqu'à présent, je n'ai réalisé aucun disque de groupes allemands, car la plupart produisent leurs disques eux-mêmes, souvent sur leurs propres labels. Mais il n'est pas impossible que j'en choisisse un un jour, à la seule condition que sa musique me plaise. Peut-être qu'à l'avenir je produirai également des groupes d'anciens pays de l'Est. Je l'espère en tout cas.
Si j'en juge par les échos que j'en ai, habituellement sous forme de lettres, je peux affirmer sans danger que de nombreuses personnes apprécient le label Artware, et ce depuis le début.
Je consacre beaucoup de temps à la promotion de mes productions. C'est absolument indispensable pour la bonne vente des disques, en particulier lorsqu'il s'agit de nouveaux noms, même si c'est important également pour des groupes plus connus comme De Fabriek.


Projets

J'ai en prévision la sortie d'un CD de la musicienne bordelaise Anne Gillis et j'espère qu'il sera bientôt disponible. Elle a l'intention de me rendre visite et de me faire écouter ses nouveaux travaux que j'ai hâte de découvrir. Je lui ai demandé d'enregistrer un CD pour Artware, tout simplement parce que je suis fascinée par sa façon d'utiliser la musique électronique. J'espère vraiment que tout va bien se passer. Anne est un peu un mystère : tout le monde connaît sa musique et pourtant rares sont ceux qui ont réussi à mettre la main sur ses albums qui sont très limités [le CD d'Anne Gillis a finalement été édité par le label SFCR, NdT].
Ma prochaine production devrait être un CD de Paul Lemos (Controlled Bleeding) enregistré en collaboration avec Joe Papa. Pour la première fois sur Artware, cette référence paraîtra en édition limitée à mille copies. Je suis très heureuse et très excitée par ce projet qui s'intitulera "Music For Stolen Icons – Part II".
Ensuite, il y a une chose dont j'ai toujours eu envie, c'est d'ouvrir mon propre magasin de disques, avec une grande machine à café et plein de fauteuils confortables où les gens pourraient s'asseoir, se relaxer, écouter tout ce qu'ils veulent, et aussi acheter des disques bien sûr.


Tuesday, June 15, 2010

Various Artists - Testament



5 x 7"
Label : RRR, US, 1988
Ripped by Rainier


Tracklist :

A1. Zbigniew Karkowski - Under The Spell Of Zombie Agressor
A2. Leif Elggren - Ventilation (The Homecoming)
B1. Kent Tankred - Razim II (Bypass)
B2. Phauss - In Search For The Gold, 1st Suite : Hell Rain In Paradise
B3. Phauss - In Search For The Gold, 2nd Suite : Conversation With Norwegian Horse Whores
C1. Rune Lindblad - Death Struggle
C2. Rune Lindblad - Toten Kampf
C3. Rune Lindblad - Dodskamp
D1. Jane Studer - The Listening Room
E1. Agog - Seven Stiple Inoculation
F1. Gum - Okefenokee
G1. Voice Crack - Sharky Delight
G2. Voice Crack - Rugged Voice
H1. Nachtluft - Transition
H2. Appi - Haben Sie Kopfschmerzen
I1. Lieutenant Caramel - Homage Au Fuetre
J1. Cranioclast - ...While Walking Down The Street


Saturday, June 12, 2010

Orchestra Of Skin & Bone - Untitled



LP
Label : Major Records, Australia, 1986
Ripped by Mantraitor


Tracklist :

A1. Flame
A2. Ot-Ven-Rot
A3. Mind
A4. In Search Of Faculty "X"
A5. Sometimes
B1. Glory
B2. Deadeyes
B3. Helvete



Wednesday, June 9, 2010

Krank - Chaos



CD
Label : Dark Vinyl, Germany, 1991


Tracklist :

1. Father Of Skins - Panik (4:02)
2. Pit Of Despair (Apollyon) (5:06)
3. Abraxos (6:08)
4. Chaos (5:28)
5. Eternity (10:16)
6. Glass (8:49)
7. Scry (Live) (9:07)
8. Loops (7:21)
9. Soundtrack For "Lines Of Least Resistance" (7:00)


Sunday, June 6, 2010

Krang - Untitled



LP
Label : Freudwerk, Germany, 1989
Limited edition of 200 numbered copies
Ripped by Tommi Keranen


I like it when someone I don't know write me to offer a great rarity... Thank you Tommi for ripping that rare Krang LP !


Tracklist :

A. Dissonance (21:54)
B1. Annihilation Nihil (5:49)
B2. Uro (11:03)
B3. Man Is Meat (5:50)


Thursday, June 3, 2010

Pump - Sombrero Fallout



CD
Label: Plague Recordings, Belgium, 2010


A few years ago, I received a message from a Discogs user asking me if I would agree to trade my cassette edition copy of the first Pump album, "The Decoration Of The Duma Continues", with a CDr copy of their second record that was never released. I loved "The Decoration" and didn't know Pump had recorded a second record. I always refuse to sell or trade anything from my collection but that particular offer sounded very attractive and I thought I could accept to trade "The Decoration" cassette as I had the LP version too. Then I received "Sombrero Fallout", that I found even better than "The Decoration". Months later, I heard about Andrew Cox death and I remembered he recently tried to find a label to release that record. When I wrote about that in a Discogs forum, Fré de Vos answered that he was planning to release the CD on his Plague Recordings label. "Sombrero Fallout" is available now, 17 years after it was recorded, and I encourage any follower of that blog to get it...

Liner notes taken from booklet :
" Sombrero Fallout was Pump's second album (or seventh if you counted their cassette output as MFH). It was due to be released in 1993 but for inexplicable reasons it never happened. It's surprising if gratifying, then, that it should finally see the light of day 17 years later. But first some history.
Pump were Andrew Cox and David Elliott. They met in 1979 in Brighton on the first day of the first year at university, living on the same campus corridor and discovering a shared passion for leftfield music, much of which happened to be German or electronic or both. Another quick realization was that they were not model students. David started a radio show and a magazine (Neumusik), a group was formed (MFH) and a cassette label initiated (YHR).
Over the next three years MFH released five cassette albums – First Move (1980), Within 30 Miles (1980), Masks (1980), Ground Zero (1981) and Head (1982) – all on the YHR label, and played a handful of gigs, sometimes to an audience. The music was spontaneous (usually recorded live), raw and definitely odd, with a nod to the German scene, Throbbing Gristle and Cabaret Voltaire from the UK, and the heinously overlooked Heldon from France.
During the mid-80s, with Andrew in Cornwall and David newly arrived in London, playing and recording together was sporadic to put it mildly. A track appeared on Dave Henderson's semi-legendary Elephant Table Album (1983) as well as numerous other cassette compilations. A support slot at the Hammersmith Clarendon showed they were still as unprofessional as ever. Meanwhile David joined the two other Davids (Henderson and Tibet) at Sounds, each battling to review the weirdest, most obscure band possible. It was perhaps not coincidental that the once great music weekly folded a few years later.
In 1986 Andrew moved to within commuting distance of London and as a result the pair started recording on a more regular basis. MFH became Pump. Material was amassed and out came The Decoration of the Duma Continues (1987) on Final Image. The music was a strange mixture, ranging from – as Melody Maker put it – “the clanging and abrasion of rusted and misaligned gears and ratchets” to “the pealing of bells heard in a delirium”. Whatever, it didn’t make the Top 20.
Other bits and pieces followed although, as the pair had ‘respectable’ day jobs (Andrew a computer programmer, David an arts manager), the gaps between the bits and the pieces became somewhat lengthy. Some concerts were played to promote the album, including an appearance at the UK Electronica Festival in Stafford and a support slot to Danielle Dax in London. A track appeared on a BBC documentary about trains. And work began on the ‘difficult second album’.
Sombrero Fallout was recorded in various locations and mixed by Colin Potter at ICR. It was due to be released by Trident Music International in 1993 but for unfathomable reasons it never happened. A pity, as it was a more mature, consistent album than Decoration... The rest of the 90s saw the duo drift apart as day jobs took precedence, with David's move to Japan effectively signaling Pump's demise.
Fast forward to 2009 and Andrew's tragic death, the result of a long battle with alcoholism. For those who knew him, we will miss his intelligence, wit and creativity… Strangely it coincided with renewed interest in the early 80s cassette culture, MFH and the fact that Sombrero Fallout never got the release it deserved. Plague Recordings stepped in and here it is. It's for everyone out there, but really it's for Andrew. "
David Elliott